Observations d'histoire naturelle faites aux environs de Dourdan et d'Orléans (1).
CHEMIN D'ÉTAMPES À DOURDAN.
On trouve en sortant d'Étampes, quand on est sur la hauteur, des terres rouges grasses propres à être employées dans les bâtiments. On entre ensuite dans une grande plaine où l'on ne voit plus que quelques pierrailles calcaires à la surface.
Lorsqu'on est près d'arriver au village appelé la Forest-le-Roy, on trouve une petite vallée sèche dans laquelle on trouve une carrière d'où l'on tire une pierre très dure, semblable à celle des hauteurs des environs d'Étampes. Lorsqu'on a traversé le village, on trouve une vallée beaucoup plus profonde. On trouve dans le haut, aux endroits où la terre est égratignée, du crayon, et au-dessous du sable, jusqu'en bas de la côte. De là à Dourdan, on rencontre de temps en temps quelques morceaux d'une espèce de meulière pleine.
Lorsqu'on descend la côte après les Granges-le-Roy, on trouve du sable, et ainsi sans discontinuation jusqu'à Dourdan.
ENVIRONS DE DOURDAN.
On trouve, en creusant dans la plus grande partie des endroits de la ville de Dourdan, de la glaise au rapport de M. Ponspin. On trouve
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